* (+/- 1 cm en planimétrie ; +/- 2 cm en altimétrie sur les relevés de précision)
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L'orthophotographie, ou orthoplan, est construite par un assemblage de milliers de photographies HD. Le résultat de ce processus
est un nuage de points, puis une image de la surface terrestre rectifiée géométriquement et égalisée
radiométriquement. Tout cela pour pouvoir voir avec fiabilité, mais surtout mesurer de manière très précise les surfaces, les pentes, les volumes... Ici traitement pour la
réalisation de l'orthophotographie d'un ilet du François (Martinique)
Le traitement par photogrammétrie ne créé pas qu'une image : il va surtout permettre de représenter la surface sous la forme d'un nuage de points. C'est ainsi que nous pouvons connaître la position dans l'espace de chaque objet, à la fois en planimétrie (placement horizontal), et en altimétrie (vertical). Le modèle créé nous permet de mesurer des volumes. Et, dans le cas d'un suivi régulier, leur évolution (déblais, remblais). Nous vous aidons à anticiper le reste à creuser dans une carrière, et mesurer les volumes déblayés sur un chantier, la quantité de matériaux stockés...
Ici mesures de volumes dans une carrière des Antilles.
La modélisation 3D permet de reconstituer des objets ou des lieux. Jusqu'à présent, reconstituer des espaces en trois dimensions représentait une activité de niche, qui n'intéressait que le monde des films de simulation ou des jeux vidéos. Mais désormais les applications sont de plus en plus répandues dans l'architecture mais aussi dans l'industrie. Et demain dans l'aménagement du territoire, le tourisme... L'arrivée sur le marché des imprimantes 3D de nouvelles génération annonce l'explosion des besoins de modélisation...
Exemple d'orthophotographie du quartier de Texaco, à Fort-de-France. Pour la réalisation de cette orthophotographie, nous avons tout d'abord réalisé une campagne de photographies aériennes respectant un recouvrement optimal. Le traitement de ces images permet de créer un nuage de points en 3 dimensions. Ce nuage est nettoyé du bruit qui peut être généré par des déplacements (voitures en mouvement, ressac de la mer, etc.), puis il est densifié jusqu'à ce que le traitement permette de faire apparaitre à la fois un modèle fiable, et une image fidèle de la réalité : c'est la cartographie du XXIe siècle.
Selon vos projets et selon votre budget, nous pouvons vous proposer des orthophotographies d'une résolution* allant de 5 cm à... 3 millimètres. Avec le recours au RTK et/ou au placement de cibles, nous pouvons vous offrir une précision** allant jusqu'à un centimètre.
* Résolution : dimension des pixels dans la réalité. Plus la résolution est petite plus l'image est précise et nette en zoomant.
** Précision : aussi appelée erreur moyenne quadratique en topographie, indique la marge d'erreur entre le géoréférencement des pixels sur l'orthophotographie et leur correspondance dans la réalité.
Pour accroitre la précision d'un relevé, nous plaçons sur le site des "cibles" qui sont relevées par un cabinet de géomètre à l'aide d'un GPS de précision.
Dans le cas de cet exemple de l'orthophotographie du bourg de Tartane (Martinique), ces cibles sont représentées par les points chiffrés. Ces points connus vont servir pour une part à recaler le modèle créé par le relevé drone. Et, pour l'autre part, à contrôler l'exactitude du relevé avant remise au client. C'est à ce stade que sont estimées les déviations entre le modèle et la réalité de la surface terrestre ( la "précision").
Le rapport de traitement, remis sur demande, indique en toute transparence la précision des cibles qui ont été utilisées pour le traitement (Table 3. Control Points RMSE), ainsi que celles qui n'ont pas été utilisées pour le traitement, mais qui servent de points de contrôle (Table 4. Check points RMSE).
Dans le cas de cet exemple de relevé topographique de plage en Guadeloupe, la précision planimétrique (XY) est d'environ un centimètre, et la précision altimétrique d'un peu moins de 3 cm (Z). Ces chiffres correspondent à peu de choses près à l'imprécision des GPS utilisés par les géomètres, et qui nous servent de cibles et de points de contrôle. Par conséquent, nous pouvons certifier que notre modèle est conforme à la réalité.
Dans le cas d'un relevé de cubatures dans une carrière, comme dans l'exemple ci-dessus, la précision est accrue en volant à basse altitude. La meilleure résolution améliore mécaniquement la précision. L'imprécision n'est alors plus que d'un centimètre environ en altimétrie et en planimétrie, comme indiqué dans le rapport.
Sur cet exemple d'orthophotographie réalisée sur une plage du nord-atlantique de la Martinique pendant le confinement, on cherche à identifier les nids de tortues. L'exposition de l'image est réglée pour le sable, ce qui va permettre de distinguer les traces des pattes des tortues venues pondre...
L'inspection des infrastructures hautes et difficiles d'accès se fait depuis le sol. Nos drones de dernière génération sont équipés de capteurs anti-collision et de parachutes.
Une journée d'inspection en une heure de vol... Les images et les données sont géoréférencées et accessibles à tout moment. les photographies HD s'intègrent dans vos rapports en un clic.
En réduisant le temps dépensé et le risque humain, les coûts d'inspection diminuent alors même que l'efficacité augmente...
Nos drones vous permettent d'obtenir des vues inédites sur des structures autrement inaccessibles...
Nous ne contentons pas de vous délivrer des images : nous vous fournissons des données précises : mesures de surfaces, volumes, pentes...